Ficher métier - Responsable de production

• Planifier la production avec les responsables d’atelier ;
• Superviser les services connexes à la production (maintenance, qualité, méthodes…) ;
• Lancer les nouveaux modèles (gamme de produits…) ;
• Réagir aux commandes imprévues et aux aléas humains et techniques ;
• Coordonner les exigences de production et les nécessités de maintenance ;
• Assurer les communications avec les autres services ;
• Suivre les productions journalières par rapport aux prévisions et les réajuster ;

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Demain

• L’optimisation des processus de fabrication se fera de plus en plus avec des contraintes diverses (maintenance, climat social à préserver, éthique, …), ainsi, la problématique de l’industrie de futur ne sera plus les cadences mais plus la productivité.
• Accentuation de la gestion du court terme (les produits sont de plus en plus personnalisés et réclament une satisfaction clients plus rapide) et du long terme, avec l’objectif d’améliorer constamment la productivité et la qualité, en tenant compte de la sécurité, de l’environnement et des nouvelles aspirations/attentes des clients. Ce qui aura pour conséquence d’être capable d’assumer les différentes contraintes: s’informer, anticiper, prendre conscience des risques …

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• Analyser les défaillances, les dysfonctionnements, proposer des améliorations ;
• Rechercher et proposer des solutions pour améliorer sans cesse la productivité, la réactivité et la qualité de la production : gérer des séries de plus en plus courtes, améliorer les implantations d’ateliers, optimiser les flux et superviser les essais ;
• Améliorer la gestion de production et son système d’information ;
• Prévoir les investissements nécessaires en collaboration avec le bureau d’études, les méthodes et les achats ;
• Suivre les indicateurs clients ( coût /qualité /délais) et coordonner les actions correctives et préventives nécessaires avec la qualité ;
• Superviser l’intervention des prestataires (sous-traitants, équipementiers, fabricants de pièces détachées) et organiser la coopération avec les équipes internes ;
• Participer à l’implantation d’un nouveau site industriel.

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Demain

• Digital : maîtriser l’usage des nouveaux outils digitaux et de pilotage et insuffler de nouvelles méthodes de travail auprès de ses équipes.
• L’amélioration continue sera de plus en plus au coeur de ses activités dans le sens où il faudra toujours produire plus vite, avec une meilleure qualité ou avec des coûts de plus en plus réduits.
• Ce métier va encore continuer à s’industrialiser grâce aux évolutions technologiques.
• Cela permettra entre autre:
  • d’étendre encore plus la gamme de matériaux utilisés,
  • d’améliorer encore plus la qualité des pièces réalisées,
  • d’être plus agile sur les changements de séries,
  • d’augmenter les vitesses de fabrication.
• Il/elle devra de plus en plus répondre aux exigences réglementaires qui iront en s’accroissant.

Après-demain

• Il/elle sera dans une démarche toujours plus grande d’amélioration de la performance opérationnelle avec un accroissement et un perfectionnement des outils de base pour mesurer et améliorer la performance en continu, donc il/ elle sera concernée par une montée en compétences.

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• Transmettre toute information nécessaire pour la faisabilité d’un produit : contraintes techniques, capacités machines…
• Proposer des améliorations et participer à la validation du prototype ;

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Demain

• Son rôle d’expert fera qu’il /elle sera de plus en plus associé(e) à la phase de conception de nouveaux produits.

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• Informer, animer et coordonner les équipes : ingénieurs, agents de maîtrise, techniciens, opérateurs ;
• Identifier, valoriser et développer les compétences du personnel (souhait de mobilité, développement d’expertise…) ;
• Participer à la définition du plan de formation des équipes et aux recrutements en lien avec les services RH ;
• Entretenir les relations avec les partenaires sociaux afin de garantir la qualité du climat social (CE, CHSCT, etc.) ;
• Animer des groupes de travail dans le cadre de projets au sein de l’usine, destinés à améliorer l’appareil de production ou les conditions de travail.

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Demain

• Evolution de la manière de manager du fait de l’évolution de la constitution des équipes qui pourront être constituées d’Humains et de robots.

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• Faciliter / superviser les interventions extérieures : auditeurs : Inspection du travail, ISO, DREAL…
• Assurer l’aspect relation publique avec une sphère plus large (pas que clients et fournisseurs mais interlocuteurs comme les représentants de l’autorité publique…).

• Il ou elle travaille entre son bureau et les ateliers, à l’intérieur ou à l’extérieur de l’entreprise ;
• Il ou elle est garant(e) de l’image et de la promotion de son entreprise lorsqu’il/elle se déplace à l’extérieur : salons professionnels, visites de constructeurs, réunions professionnelles…
• Il ou elle est garant(e) du bon fonctionnement de la production au sein de l’usine. Il ou elle est soumis à la pression des délais et des coûts qui entraîne des rythmes de production soutenus. Ainsi, par exemple, dans des organisations en « feu continu », il ou elle est amené(e) à encadrer des équipes qui fonctionnent en 3 x 8 pour assurer une production 24h/24. Il ou elle peut être soumis à des astreintes le week-end ou la nuit. En cas de pannes, le/la responsable de production doit se rendre sur le site de production, et ce à n’importe quel moment de la journée ou de la nuit. Les horaires sont donc soumis aux aléas de la production, et les dépassements d’horaires sont fréquents.
• En cas de conflit social, il/elle doit temporiser et souvent gérer directement les relations sociales avant l’arrivée du directeur d’usine par exemple. Au niveau de la disponibilité, comme beaucoup de managers, le / la responsable de production doit utiliser le droit à la déconnexion pour lui et pour ses collaborateurs afin de garantir le bien-être au travail.

• Les techniques liées aux produits fabriqués et aux procédés ;
• Les caractéristiques, matières premières, des produits semi finis et des produits finis ;
• Les méthodes de fabrication et emballage ;
• Les principes de fonctionnement des matériels et machines de l’unité de production ;
• Les différentes techniques de gestion de production (GPAO, etc) et des automatismes industriels ;
• Les outils informatiques de gestion ;
• Les outils de planification de la production ;
• Le principe de l’ordonnancement, de l’optimisation de la production : flux poussé, flux tiré, flux tendu,…
• Les outils et démarches de performance industrielle (aménagement de postes de travail, 5S, TRS,…) ;
• Les technologies de l’entreprise (l’électronique, l’électricité, la mécanique, les automatismes…) ;
• Les méthodes et techniques de maintenance et les logiciels de Gestion de Maintenance Assistée par Ordinateur – GMAO ;
• Les méthodes de chiffrage et les ratios propres à la maintenance ;
• Les normes hygiène / qualité/ sécurité/ environnement et les procédures d’application dans l’entreprise ;

Demain

Toutes les compétences techniques énumérées ci-dessous sont déjà présentes aujourd’hui cependant elles seront encore plus prégnantes demain, les outils évoluant. On peut ajouter les suivantes qui sont plus générales :

• Avoir une vision plus stratégique de son entreprise ;
• Savoir plus associer son équipe à la mise en oeuvre des plans d’actions en cohérence avec la stratégie de l’entreprise ;
• Savoir mieux adapter les ressources compétences/hommes/femmes à l’activité de son secteur ;
• Savoir appliquer régulièrement la gestion prévisionnelle des compétences de son entreprise à son secteur ;
• Savoir plus évaluer les impacts des changements stratégiques sur son périmètre (organisationnel, économique, humain) pour adapter les plans d’action ;
• Savoir proposer des actions d’amélioration dans son secteur (nouveaux indicateurs, transfert à d’autres secteurs) ;
• Savoir mieux collaborer avec les services ressources à la définition et à la mise en oeuvre des plans d’action de prévention ;
• Etre sensibilisé aux risques accrus liés à l’usage des outils informatique (cf. cybersécurité).

Génie industriel

• Maîtriser les aspects techniques de la fabrication, de l’appareil de production et de la chaîne logistique (coût, délai, élaboration de dossier d’industrialisation,…) ;
• Maîtriser les logiciels informatiques de gestion de production (GPAO, GMAO, CFAO…) et les outils de planification des ressources (ERP type BPCS ou autre) ;
• Maîtriser les normes qualité et les outils de management du risque (AMDEC, SPC…) ;
• Maîtriser les statistiques appliquées à la gestion et des logiciels associés (Excel, Word, Access, MS Project, …) pour répondre au coeur d’activité de l’ingénieur procédés (analyses prévisionnelles, calculs de charge, simulations, simogrammes…) ;

Mécanique

• Savoir réaliser une analyse fonctionnelle et réaliser des ébauches, schémas de pièces, systèmes, sous-ensembles ou ensembles ;
• Connaissance de base en métrologie ;
• Avoir une bonne pratique des logiciels de modélisation, de conception et de dessin assisté par ordinateur (CAO, DAO…) ;

Environnement industriel

• Maîtriser la QHSE, donc savoir bien évaluer les risques relatifs à l’environnement, l’hygiène et la sécurité et les mesures à adopter ;
• Connaître les progiciels de Gestion Intégrée (PGI) / Enterprise Resource Planning (ERP) ;
• Connaître les techniques d’amélioration continue (5S, Smed. Lean Manufacturing, Kaizen TPM, plans de surveillances,…) ;
• Connaître les procédés spécifiques au secteur en fonction de la production de l’usine ou de l’atelier (chimie fine, pétrochimie…) ;

Management

• Maîtriser la planification à moyen et long terme et du management (budgétisation, lecture de tableaux de bord…) ;
• Savoir maîtriser le pilotage de projet en milieu industriel ;
• Savoir sensibiliser et former les personnels ;
• Savoir élaborer, avec son équipe une partie de la stratégie de l’entreprise ;
• Savoir anticiper les impacts des changements stratégiques sur son périmètre (organisationnel, économique, humain) pour adapter les plans d’action ;
• Savoir organiser les actions de montée en compétence (formation, tutorat, recrutement, mobilité,…) ;
• Savoir cartographier les compétences des collaborateurs et les positionne par rapport à leuR mission et aux objectifs de l’unité ;
• Savoir piloter l’élaboration collaborative des plans de prévention ;
• Savoir évaluer les compétences des collaborateurs ;
• Savoir coordonner l’activité de son unité avec celle des autres services ;
• Savoir définir les objectifs intermédiaires des équipes de son unité ;
• Savoir élaborer, suit et analyse les indicateurs de suivi d’activité de son unité ;
• Savoir mettre en place les conditions de l’innovation en lien avec la stratégie de l’entreprise ;
• Avoir une bonne connaissance d’au moins une langue étrangère, généralement l’anglais ou l’allemand ;

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Demain

• Savoir favoriser à tous niveaux le collaboratif ;
• Savoir encourager la prise de risque dans un cadre défini ;
• Savoir favoriser l’utilisation des outils nouveaux (gamification, MOOC, …) d’animation de réunion ou de formation ;
• Être capable d’adapter sa prise de décision avec l’introduction de nouveaux outils d’intelligence artificielle ;
• Maîtriser les nouveaux outils numériques de collaboration et d’interaction (blogs, podcasts, réseaux sociaux, …).

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• D’animer et de fédérer des équipes autour des objectifs de production ;
• Savoir quand il faut déléguer ;
• D’adaptation, d’ouverture d’esprit et de communiquer avec différentes équipes (du dirigeant à l’opérateur) ;
• Faire preuve de pragmatisme, avec des capacités d’organisation, de méthode et de planification, pour gérer la fabrication au quotidien ;
• Faire preuve de rigueur afin de faire respecter l’ensemble des procédures de fabrication ;
• Posséder un bon esprit de synthèse pour effectuer le reporting ou résoudre rapidement des problèmes;
• Posséder une grande réactivité et une bonne résistance au stress pour résoudre rapidement des problèmes et un bon sens de l’anticipation pour parer aux incidents ou dysfonctionnements (pannes…);
• Posséder un sang-froid et est capable de travailler dans l’urgence car un arrêt dans la chaîne de fabrication peut avoir de très lourdes conséquences sur les résultats et l’avenir de l’entreprise.

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Demain

• Être capable d’accompagner, de façon personnalisée, pour “faire grandir” chacun, individuellement et collectivement (cf. manager-coach).
• Développer sa capacité d’apprentissage, notamment en auto-apprentissage, notamment auprès des générations plus jeunes (cf. « reverse mentoring »)

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Les activités sont modulables et peuvent varier d’une entreprise à l’autre en fonction du secteur d’activités, de la taille de l’entreprise.

La taille et l’organisation de l’entreprise influe sur la place et le rôle du responsable production.

Dans les petites structures, le responsable production peut dépendre du directeur général. Il est ainsi très polyvalent et a un périmètre d’activité assez large qui peut couvrir certaines activités connexes, telles que les études et les méthodes (responsable production – méthodes), la maintenance (responsable production maintenance), la qualité (responsable qualité – production) ou des activités logistiques. Dans ce contexte, il gère le processus d’industrialisation de façon globale.

Dans les plus grosses structures, il est placé sous la responsabilité du directeur de production, du directeur d’usine ou du directeur technique. Suivant l’organisation de l’entreprise, il pourra être spécialisé par type de produit ou responsable d’une étape du cycle de fabrication. Par exemple dans l’industrie verrière, les responsables de production ont en charge une étape de traitement du verre (à chaud, à froid…). Le poste, dans les structures importantes, est ainsi beaucoup plus spécialisé.

Début de la journée de travail à 6h00

Changement de chaussures pour mettre des chaussures de sécurité. Passage rapide auprès de ses collègues et de son responsable pour leur dire bonjour. Échange avec son responsable pour prendre connaissance des points marquants à connaître.

6h00 : en arrivant, je vais directement dans mon vestiaire pour mettre mes chaussures de sécurité, ma blouse et ma charlotte sur la tête, c’est le rituel du matin, après ça, je me sens complètement opérationnelle pour commencer ma journée.

6h15 : 6h15 : Je fonce vers le quai de livraison attenant à la cuisine centrale. Ici, plusieurs milliers de palettes sont déchargées à la hâte par les magasiniers. « Nous sommes livrés par des producteurs locaux, des fournisseurs attitrés et par les commerçants de Rungis, détaille Patricia, tenue de travail impeccablement lustrée sur le dos. Mon job est de vérifier que tout se passe au mieux et de m’assurer également de la qualité des produits réceptionnés. ». Tout est ensuite minutieusement consigné sur un cahier de livraison.

Demain

En allant directement sur ma tablette, j’aurai une visibilité complète du contenu de chaque palette car chaque produit livré étant au préalable scanné, j’aurai l’information en temps réel sans me déplacer grâce à cette traçabilité en amont.

6h40 : Dans la foulée, Patricia allume son ordinateur.

Objectif : mettre à jour son outil de gestion de production. « Cette démarche est indispensable car elle me permet de contrôler mes commandes et d’être au plus près des besoins”. Elle doit déjà prévoir la journée du lendemain. Rigoureuse, la responsable de production élabore les fiches recette correspondantes en collaboration avec le/la responsable d’approvisionnement, pour commander ce dont elle a besoin. Ni plus, ni moins.

Demain

Elle devra gérer plus de contraintes diverses pour optimiser sa production (maintenance, climat social, éthique…).

7h00 : Cheffe de service, Patricia a également des attributions en matière de ressources humaines. Elle passe ainsi dans chacun des recoins de l’atelier de production pour saluer ses équipes et vérifier que les personnels prévus ce jour sont tous bien présents. Deux de ses collègues manquent à l’appel. Rapidement, elle réorganise ses équipes en interne et lance le recrutement d’un agent supplémentaire en intérim pour les jours à venir en collaboration avec le service RH. Dans la foulée, elle établit également le planning de travail et validera les vacances d’été déjà déposées.

Demain

Son équipe ne sera plus uniquement constituée par des femmes et des hommes mais également par des robots collaboratifs qu’il faudra apprendre à gérer.

9h30 : Un temps dédié à l’ajustement de la production. « Nous travaillons sur du prévisionnel. Ce qui veut dire que nos coûts de production sont très liés au cours des matières premières, donc il me faut sans cesse réfléchir à des stratagèmes pour préserver nos marges sans augmenter les prix des plats cuisinés qui seront vendus. Comme notre usine a plusieurs lignes de production, je peux choisir une ligne plus ou moins automatisées en fonction de la gamme.

Demain

La maîtrise des nouveaux outils de production sera plus importante; la prise en compte des exigences réglementaires sera plus forte.

10h45 : Patricia transmet ses bons de commande aux magasiniers. Ce sont eux qui, pour chaque type de produit exigé, indiqueront la quantité nécessaire selon le stock de marchandises restant en chambre froide et en réserve.

11h45 : C’est l’heure du rendez-vous hebdomadaire avec la diététicienne du groupe et les services études et méthodes. Une liste de plats est passée en revue.

Ce travail de groupe avec la diététicienne est tout autant instructif qu’indispensable : « Régulièrement, nous devons adapter nos plats aux contraintes de chacun des contrats signés avec nos différents clients pour lesquels nous travaillons. »

Demain

Sur notre écran, nous aurons immédiatement à disposition des ressources documentaires nous permettant de prendre des décisions plus rapidement.

Pause déjeuner à 12h15, Proche de ses collègues, Patricia aime prendre le temps de discuter avec les uns et les autres. Au fil des discussions, elle résume sa vision du métier : « Une responsable production doit avant toute chose être bien organisée et efficace. Elle a une équipe à diriger. Bonne gestionnaire car le critère du coût est fondamental. Enfin, cette professionnelle très polyvalente devra accorder un soin tout particulier aux normes d’hygiène et de diététique de plus en plus pointues. »

Reprise de la journée de travail à 14h00 :

14h00 : Après un nouveau tour des lignes de production, la responsable de production rencontre la qualiticienne du groupe. Leur réunion est l’occasion d’aborder les multiples sujets liés à l’hygiène et la sécurité alimentaire. Mais Patricia doit faire vite : elle a un autre rendez-vous calé dans l’heure. Elle doit en effet se rendre à une réunion organisée par le directeur du marketing concernant l’élaboration de nouveaux plats dans un format plus innovant comme « la box ».

Demain

L’inspection du matériel sera plus rapide, grâce à l’utilisation des nouvelles technologies (capteurs RFID, …

16h00: Patricia quitte le site pour rentrer chez elle.

Fin de la journée de travail de Patricia à 16h00

Quelques exemples des diplômes les plus connus permettant l’accès au métier :

• Bachelor Management and IT ; Telecom Ecole de Management (IMT) ;
• Master Grande Ecole Telecom ; Ecole de Management (IMT) ;
• MSc ICT Business Management Telecom Ecole de Management (IMT) ;
• MSc International management Telecom Ecole de Management (IMT) ;
• MS Management de l’innovation intrapreneuriat et entrepreneuriat Telecom Ecole de Management (IMT) ;
• MBA Achats & logistique ESCEM ;

MOOC

MOOC « du manager au leader » : http://www.sup-numerique.gouv.fr/cid93798/mooc-du-manager-au-leader.html